En ce jour symbolique, j’ai envie de vous montrer une part de mon travail que je révèle rarement, l’accompagnement de l’estime de soi pour (re)découvrir l’amour de son corps par la photographie boudoir.
Se recentrer, redéfinir les critères de beauté en dehors de la société de consommation, se connecter à soi et s’accueillir avec bienveillance et amour. Oser accepter ses changements, ses cicatrices pour s’apaiser et s’aimer, découvrir son féminin sacré.
[edit] L’apparence ne préjuge pas des souffrances.
Ce n’est pas grâce à la forme de son corps ni à sa silhouette que l’on y trouve sa propre beauté et encore moi sa confiance en soi.
D’autant que cette beauté est très éphémère et produit énormément de nostalgie.
Poser un regard bienveillant sur soi ne dépend pas de son apparence mais c’est un apprentissage qui potentiellement a été maltraité déjà jeune et qui suivant son environnement et le contexte social et culturel peut posséder des traumatismes.
Je trouve merveilleux d’y voir le courage d’une femme.
Par exemple le courage une femme qui accepte malgré tout de ne pas avoir les rondeurs que lui aurait apporté la maternité?
Le courage d’une femme qui aime son corps et sa vitalité au delà des clichés pulpeux que la société nous impose.
L’acceptation d’être et d’exister, voire de rayonner de son énergie quand bien même la vie soit dure.
J’y trouve là dans mon travail tout son sens et accueille tous les corps sans préjugé de beauté et avec émerveillement.
Aimer librement quelqu’un c’est avant tout s’aimer soi-même de manière indépendante et autonome.
Joyeuse Saint-Valentin.
